Instance/Info

Lecture de l'actualité

22/09/06

Accueil
Instances Editions
L'INSTANCE, Revue critique de droit algérien
Instance/Info, lecture de l'actualité
Contribuez au site

- ALGERIA WATCH ET LES DROITS DE L’HOMME -

  El-Hadi Chalabi

Depuis le 1er septembre 2006, les visiteurs du site Algeria-Watch (A-W) ont pu remarquer la disparition de http://www.elhadi-chalabi.com de la liste des liens.
Qui connaît les motifs de la « sentence » ( ?) prononcée et exécutée dans le noir ?
Précisons tout d’abord, que l’initiative d’accrocher le lien entre A-W. et nous revient au premier nommé.
Nous n’avons, quant à nous, rien demandé et nous ne demandons rien à A-W.dont nous nous démarquons à plus d’un titre.
A la suite d’une correspondance privée – mais suffisamment et insidieusement diffusée par copies électroniques pour parvenir jusqu’à nous – adressée à A-W. et chargée de menaces, faisant l’amalgame entre A-W. et nous, A-W. a obtempéré, persuadé de détenir on ne sait quel rapport hiérarchique à notre égard.

De fait, le site, le nôtre, disparaît de la liste des liens d’A-W. sans qu’il n’y ait le moindre contact pour :
1°) annoncer la décision ;
2°) en justifier ou expliquer le fondement.

Or, ladite décision n’était fondée sur rien d’autre que les menaces incohérentes de leur auteur assorties, toutefois, de propos gravement diffamatoires envers nous mêmes. C’est ce qui motive et impose notre réaction.
En se contentant, dans le silence, de faire disparaître le lien, agissant comme simple exécutant, A-W. fait siennes les menaces écrites, y compris dans leur contenu diffamatoire.
Par conséquent, nous attendons d’A-W. qu’il condamne publiquement le contenu diffamatoire des propos qu’il a, d’une façon ou d’une autre, relayés en les entérinant.
Si, d’aventure, on nous objecte qu’il s’agit d’une correspondance privée, alors on ne sera que plus édifié sur la conception des droits de l’homme à A-W. Cela nous rappellerait la fable du mari qui, publiquement, serait un honorable représentant de la cause des droits humains et qui, en privé, fait valoir le privilège, « accordé par le contrat conjugal », de battre, à discrétion, son épouse.

Nous ne demandons rien, répétons-le, à A-W., sauf à nous donner acte publiquement de ce qui précède.

le 22 septembre 2006
El-Hadi CHALABI
Cliquez ici pour commander ISLAM ET ETAT en Algérie

retour au début de l'article

retour à Instance/Info

Pour toute question, envoyez un mail à :
instance.info[chez]elhadi-chalabi.com
(remplacez [chez] par @)

© le contenu de ce site est entièrement protégé par les lois du copyright international