El-Hadi Chalabi
Depuis
le 1er septembre 2006, les visiteurs du site Algeria-Watch (A-W) ont
pu remarquer la disparition de http://www.elhadi-chalabi.com
de la liste des liens.
Qui connaît les motifs de la « sentence »
( ?) prononcée et exécutée dans le noir ?
Précisons tout dabord, que linitiative daccrocher
le lien entre A-W. et nous revient au premier nommé.
Nous navons, quant à nous, rien demandé et nous
ne demandons rien à A-W.dont nous nous démarquons à
plus dun titre.
A la suite dune correspondance privée mais suffisamment
et insidieusement diffusée par copies électroniques
pour parvenir jusquà nous adressée à
A-W. et chargée de menaces, faisant lamalgame entre A-W.
et nous, A-W. a obtempéré, persuadé de détenir
on ne sait quel rapport hiérarchique à notre égard.
De fait, le site, le nôtre, disparaît de la liste des
liens dA-W. sans quil ny ait le moindre contact
pour :
1°) annoncer la décision ;
2°) en justifier ou expliquer le fondement.
Or, ladite décision nétait fondée sur rien
dautre que les menaces incohérentes de leur auteur assorties,
toutefois, de propos gravement diffamatoires envers nous mêmes.
Cest ce qui motive et impose notre réaction.
En se contentant, dans le silence, de faire disparaître le lien,
agissant comme simple exécutant, A-W. fait siennes les menaces
écrites, y compris dans leur contenu diffamatoire.
Par conséquent, nous attendons dA-W. quil condamne
publiquement le contenu diffamatoire des propos quil a, dune
façon ou dune autre, relayés en les entérinant.
Si, daventure, on nous objecte quil sagit dune
correspondance privée, alors on ne sera que plus édifié
sur la conception des droits de lhomme à A-W. Cela nous
rappellerait la fable du mari qui, publiquement, serait un honorable
représentant de la cause des droits humains et qui, en privé,
fait valoir le privilège, « accordé par
le contrat conjugal », de battre, à discrétion,
son épouse.
Nous ne demandons rien, répétons-le, à A-W.,
sauf à nous donner acte publiquement de ce qui précède.